
On m’en parlait beaucoup. Trop peut-être. Car j’éprouvais une sorte de réticence à plonger dans ce livre au titre si évocateur : « Le chagrin ». Mais c’est lors de son passage à « La grande Librairie », que dès le lendemain j’achetais le livre et m’y lançais à corps perdu. Lionel Duroy n’apparaissait pourtant pas pour ce qu’on nomme en télé « un bon client ». Mais il m’avait ému. Sa fragilité, sa difficulté à expliquer sa quête, son humilité, son travail à l’os de la douleur…
Et je ne fus pas déçu....
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